Les jeunes du territoire présentent leurs travaux sur la scène du CDCN :
Accompagné·e·s toute l’année par l’équipe du Centre de développement chorégraphique national dans leur découverte de la danse, les jeunes du territoire investiront
le plateau des Hivernales durant une semaine du 15 au 17 mai !
Des classes de collèges aux étudiant·e·s de l’Université, toute cette nouvelle génération présentera des formes chorégraphiques.
Programme
Comme chaque année, la compagnie universitaire de danse [Hannah et Jean-Henri], portée par le SUAPS d’Avignon Université, présentera ses deux créations annuelles
lors de la semaine « Danse Nouvelle Génération ».
Les étudiantes, qui ont expérimenté le processus de création en danse depuis le mois de septembre, interprèteront deux pièces aux ambiances différentes mais connectées.
- La première pièce, issue d’une collaboration avec la Compagnie Ex Nihilo, pose la question de la protection de la nature et de l’environnement. Celle-ci étant une préoccupation générale, et s’avérant être un sujet porté par la jeunesse de manière encore plus aiguë, nous avons choisi de questionner l’enracinement pour livrer une composition qui reflète les craintes et les espoirs d’une génération. L’enracinement, au sens de l’arbre qui prend racine, qui se nourrit, qui se connecte avec le vivant, la terre… Se reconnecter avec les éléments naturels et nos comparses afin d’évoquer ces notions de partage, d’altérité, de complicité, de compromis et de raison. Irradier dans un terreau commun, le terreau de nos existences, de notre parcours : d’où l’on vient pour mieux savoir où on va, seul et avec les autres.
- La deuxième pièce a pour objet le corps, dans différentes acceptions : corps humain, corps social, corps collectif, corps sensible, corps sportif, corps artistique… À partir d’improvisations autour de répertoires de gestes simples, du quotidien, de phrases signatures ou de transcriptions gestuelles de textes, l’écriture chorégraphique permet au spectateur de naviguer entre l’individu et le groupe, le personnel voire l’intime et l’universel.
Ou comment ce « Corpus » permet d’être en lien avec soi et avec les autres ?